8000 tués, 200.000 blessés consécutifs aux accidents de la circulation !

Tel est le constat accablant de l’an 2000; et les résultats 2001 attestent d’ores et déjà une aggravation.

Le coût de cette insécurité routière avoisine 120 milliards de francs (18,29 milliards € ), sans tenir compte des misères et des drames de toutes sortes qu’elle entraîne.

ALORS, QUE FAIRE ?

Nous sommes là devant une sorte de fatalisme, avec de temps à autre une réaction de nos hommes politiques lorsque la gravité de l’accident frappe l’opinion publique. On prend alors des mesures réglementaires qui, dans leur application, sont aussi efficaces qu’un cautère sur une jambe de bois.

Des efforts notables ont été faits par les constructeurs automobiles, par les pouvoirs publics, par la mise en place de contrôles routiers plus fréquents, d’opérations de prévention, sans oublier le toilettage du Code de la Route.

Est – ce suffisant ? A l’évidence, non.

La loi existe. Demandons donc son application en tous lieux, à l’égard de toutes personnes, entreprises et sociétés, avec la même rigueur, sans complaisance ni passe droit.

Demandons aux parlementaires de ne plus jamais intervenir en faveur des contrevenants et de s’opposer à toute idée d’amnistie en la matière.

Il faut aussi régler de manière rigoureuse le problème de la circulation des poids lourds en attendant fa mise en place de solutions plus évoluées qui s’imposent (ferroutage ou autres).

IL FAUT ALLER PLUS LOIN